Revues de presse
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Confinement et pandémie obligent, les règles changent pour tous les secteurs, milieu funéraire compris. Rendre hommage à nos morts n’a jamais été aussi compliqué qu’aujourd’hui. Dans de telles conditions, comment espérer pouvoir faire son deuil ?
A la demande d’Emmanuel Macron, un “dispositif d’écoute et de soutien spirituel” à destination des malades du Covid-19 et de leurs familles a été créé par le ministère de l’Intérieur en lien avec les cultes. La société s’organise pour aider ceux qui ont perdu ou perdront un proche.
Alors que les députés LREM proposent, ce mardi 11, un congé de trois semaines pour le deuil d’un enfant, Marie Tournigand, déléguée générale de l’association Empreintes (1), qui accompagne chaque année 3 000 personnes endeuillées, explique les besoins de ces parents.
Les députés ont refusé en première lecture d’allonger le congé de deuil de cinq à 12 jours. Marie Tournigand, déléguée générale de l’association Empreintes, nous explique pourquoi cet allongement est nécessaire, sous conditions.